Hommage en noir et blanc au cinéma français, quelque part entre Garrel et Eustache, Les Idéalistes (Los Ilusos), devenu culte en Espagne, reprend les ingrédients majeurs de Trueba : portrait d’une jeunesse artiste, avec émois amoureux, promenades dans Madrid, conversations de cinéphiles – nos héros rêvent tous de cinéma. Et la pop indé pour nommer les sentiments (ici, celle d’Abel Hernández). Le récit est plus libre, plus improvisé mais l’humour et la finesse d’observation intacts.
Hommage en noir et blanc au cinéma français, quelque part entre Garrel et Eustache, Les Idéalistes (Los Ilusos), devenu culte en Espagne, reprend les ingrédients majeurs de Trueba : portrait d’une jeunesse artiste, avec émois amoureux, promenades dans Madrid, conversations de cinéphiles – nos héros rêvent tous de cinéma. Et la pop indé pour nommer les sentiments (ici, celle d’Abel Hernández). Le récit est plus libre, plus improvisé mais l’humour et la finesse d’observation intacts.
Les idéalistes