Depuis "Un jeune poète" jusqu'à "Les Enfants d'Isadora", découvrez en 4 films l'intégrale des longs métrages de l'un des plus beau représentant de la jeune scène du cinéma indépendant français : légèreté du dispositif, précision de la mise en scène, récit sur le fil d'un cinéma qui se réinvente constamment et développe toute sa puissance dans la simplicité et l'évidence de son regard.
Depuis Un jeune poète jusqu'à Les Enfants d'Isadora, découvrez en 4 films l'intégrale des longs métrages de l'un des plus beau représentant de la jeune scène du cinéma indépendant français : légèreté du dispositif, précision de la mise en scène, récit sur le fil d'un cinéma qui se réinvente constamment et développe toute sa puissance dans la simplicité et l'évidence de son regard.
Depuis Un jeune poète jusqu'à Les Enfants d'Isadora, découvrez en 4 films l'intégrale des longs métrages de l'un des plus beau représentant de la jeune scène du cinéma indépendant français : légèreté du dispositif, précision de la mise en scène, récit sur le fil d'un cinéma qui se réinvente constamment et développe toute sa puissance dans la simplicité et l'évidence de son regard.
Un jeune poète
Le parc
Takara, la nuit ou j'ai nagé
Les enfants d'Isadora
À peine sorti de l’adolescence, Rémi rêve de devenir poète et d’enchanter le monde avec des vers bouleversants et inoubliables. À la recherche de l’inspiration dans la ville de Sète, sous un soleil accablant et avec pour seules armes un Bic et un carnet, Rémi est bien décidé à écrire son poème … mais par où commencer ? Et si tout ça ne fonctionne vraiment pas, alors boire, boire, boire encore j...
Les montagnes enneigées du Japon. Comme chaque nuit, un poissonnier se rend au marché en ville. Réveillé par son départ, son fils de six ans n’arrive pas à se rendormir. Dans la maison où tout le monde dort, le petit garçon fait un dessin qu’il glisse dans son cartable. Le matin, sa silhouette pleine de sommeil s’écarte du chemin de l’école et titube dans la neige, vers la ville…
Après la mort de ses deux enfants, la danseuse mythique Isadora Duncan a composé un solo d’adieu intitulé «La Mère». Un siècle plus tard, quatre femmes font la rencontre de cette danse bouleversante.